L’École polytechnique a accueilli la 8ème édition du Paris-Saclay Spring 2025, l’évènement annuel de l’entrepreneuriat et de la recherche du plateau de Saclay, l’un des grands pôles mondiaux d’innovation et d’entrepreneuriat. Huit start up accompagnées par X-UP, l’incubateur de l’École polytechnique ou issues de son écosystème de recherche figurent parmi les 50 jeunes pousses sélectionnées comme les plus prometteuses du plateau de Saclay. L’une d’elles, Plasana Médical est lauréate du concours Spring 50.
L’édition 2025 du Paris-Saclay Spring, le rendez-vous annuel de l’un des grands pôles mondiaux de l’innovation et de l’entrepreneuriat, réunira, à l’X, investisseurs, chercheurs et entrepreneurs les 20 et 21 mai. Huit start-up, issues de l’écosystème d’entrepreneuriat et de recherche de l’X, sont lauréates du concours Spring 50 2025, qui sélectionne les jeunes pousses les plus prometteuses du Plateau de Saclay.
Plasana Medical, fondée en 2022 par Yves Matton, entrepreneur au sein du startup studio Technofounders, et co-fondée par Antoine Rousseau, directeur de recherche au Laboratoire Physique des Plasmas (LPP*) de l'École polytechnique, s'est imposée grâce à sa technologie novatrice de plasma froid. Cette innovation lui a valu une distinction au Palmarès des Inventeurs 2025, organisé par Le Point, un prix prestigieux qui récompense les entrepreneurs dont les avancées technologiques transforment le quotidien.
L’École polytechnique et la Fondation de l’X renouvellent la Chaire d’enseignement « Espace : sciences et défis du spatial » avec le soutien d’ArianeGroup et de Safran. Ce programme, porté par Pascal Chabert, initialement lancé en 2019, contribue aux activités d’enseignement et projets étudiants autour du spatial, et notamment au Centre Spatial Etudiant de l’École polytechnique (CSEP).
Physicien et directeur de recherche CNRS au laboratoire de Physique de la matière condensée, Claude Weisbuch a été récompensé par l’Académie des sciences. Entre recherches fondamentales et appliquées sur les matériaux semiconducteurs, il a également travaillé dans l’industrie et a fondé l’entreprise Genewave.
La sonde BepiColombo a survolé la planète Mercure et a commencé à mesurer les caractéristiques de sa magnétosphère, en partie grâce au spectromètre de masse ionique MSA auquel le Laboratoire de physique des plasmas (LPP) a contribué.
En route pour étudier Mercure, la sonde BepiColombo a survolé Vénus. A son bord, l’instrument MSA, pour lequel le Laboratoire de physique des plasmas a contribué à la conception, a détecté des ions carbone et oxygène de l’atmosphère vénusienne en train de s’échapper dans l’espace. Une première dans cette région.
Créé par trois alumni de l’École polytechnique, l’événement dédié au spatial, à ses acteurs et à son exploration se déroule du 17 au 19 novembre sur le campus de l’École. L’accueil du SpaceCon 2023 illustre la forte mobilisation de l’X dans ses missions de recherche, de formation et d’innovation pour relever les défis les plus ambitieux dans ce domaine.
Confirmant sa contribution à l’excellence de la recherche en France et au développement des technologies spatiales de demain, l’École polytechnique participe aux côtés du CNRS et de Safran Electronics & Defense à la création d’un laboratoire commun, COMHET, dédié à l’amélioration des technologies des propulseurs spatiaux.
Trois doctorants de l'École polytechnique ont organisé le séminaire d’EuroTech sur le thème « Accélérer l'hydrogène : Vers des technologies de production, de stockage et de conversion durable ». Plus de 30 doctorants des six universités membres de l’Alliance EuroTech repartis à travers l'Europe se sont réunis du 9 au 13 octobre 2023 pour assister à ce séminaire.
La 16ème promotion X-UP vient de démarrer son incubation au sein du Drahi-X Novation Center, le centre entreprises, entrepreneuriat et innovation de l’École polytechnique. Sept nouveaux entrepreneurs dans l’innovation de rupture vont suivre pendant 10 mois un dispositif conçu pour les start-up deeptech en phase d’amorçage.
Edmond Baratte, jeune docteur du Laboratoire de physique des plasmas, mène un projet utilisant des technologies plasma afin de produire du méthane à partir de dioxyde de carbone de façon la plus décarbonée possible. Le but est de concevoir un prototype montrant l’efficacité du procédé, avec l’aide d’un financement de la SATT Paris-Saclay.